Solitude obscure (poème n°8)





Amertume des derniers mois passés

Des plaies à peine pansées

Sur le vieux parquet esquinté

Ses cheveux roux éparpillés

Gribouillis, gribouillages

D'un enfant en bas-âge

Pourtant seule la solitude

Lui fait office de colocataire

Dans l'immense amplitude

De son logement sous terre




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